une vidéo à faire circuler pour renforcer la surveillance des mineurs qui surfent sur le web
source vidéo : http://www.koreus.com/media/les-predateurs-du-net.html
dimanche 18 mars 2007
jeudi 25 janvier 2007
vendredi 19 janvier 2007
Renato Casaro
Renato Casaro est un artiste peintre italien né en 1935.
Il est l'auteur d'innombrables illustrations cinématographiques, autrement dit, des affiches de films. Il débuta à l'âge de 17 ans dans ce milieu: décoration pour le cinéma, puis dans les années 1970, il devient célèbre et travailla en collaboration avec les réalisateurs Leone, Lelouch, Coppola, Petersen, Bertolucci, Rosi, Besson et avec les studios de Los Angeles.
Il illustra notamment les affiches de films suivantes: ceux du duo Terence Hill - Bud Spencer, les films de Belmondo, la série des Rambo, Terminator, ainsi que de nombreuses comédies italiennes, des western, et des films internationaux (tels que L'Homme Invisible (la version avec Daryl Hannah), Who's that Girl et Shangai Surprise (avec Madonna), L'Aventure Intérieure (avec Meg Ryan), Asterix et Obelix (avec Depardieu-Clavier), Dolores Clairbone et Misery (avec Kathy Bates), L'Histoire sans fin, Le Facteur sonne toujours deux fois, Little Buddha, La Maison aux esprits, Amadeus, Cotton Club, Nikita, Furyo, Blow out, Dune ..etc... bref, il y en a des milliers, c'est bien simple, dès que vous verrez une affiche de film représentée en peinture, il y a bien 90% de chances que l'illustrateur soit Casaro !
En 1988, il débuta un cycle de peinture intitulé "Les films peints", qui comprend 3 tableaux: Invitation, 100 Years of film, et Paradise View, où sont représentés les grandes légendes d' Hollywood: Marilyn Monroe, Humphrey Boggart, James Dean, Elvis Presley, Marlon Brando etc...
( ci-dessous, la représentation de 100 YEARS OF FILMS )Depuis 1985, il voyagea à travers le monde, et fut très inspiré notamment par l'Afrique, débutant alors un cycle intitulé African Impressions, où il représente les animaux dans la savane (éléphant, lions, zébres, antilopes, tigres etc...), ainsi que par l'Orient où il représente le peuple orientale et ses femmes voilées, les animaux, le tout prenant place dans un désert aride ou dans de petites ruelles, jouant avec le clair-obscur du soleil.
Ses peintures sont d'un réalisme étonnant. Il s'amuse parfois à combiner l'histoire de l'art (la peinture) avec le cinéma: comme pour son tableau "Touch" qui fait référence aux fresques de la Chapelle Sixtine de Raphael, de même pour "Paradise View". Il se sert des peintures s'inscrivant dans l'histoire de l'art, qui elles-même faisaient références à la mythologie ou à la Bible, pour créer ses propres oeuvres et les transposer au milieu hollywoodien: son tableau "Invitation" reprend la célèbre Céne, le dernier repas de Jésus et de ses apôtres, mais pour Casaro, Marilyn Monroe remplace Jésus !

Renato Casara reçut d'innombrables prix le récompensant pour ses oeuvres et confirmant par ce biais son talent d'illustrateur.
Il continue toujours à faire des expositions de ses oeuvres.

son site officiel: http://www.casaro-renato-art.com/
mardi 2 janvier 2007
Quand les voeux portaient chance

Les voeux de nouvel an n’étaient pas autrefois des paroles en l’air. On assurait qu’ils portaient vraiment chance — du moins s’ils étaient souhaités par la personne qu’il fallait ...
Qui portait chance ?
Offrir ses voeux se disait « étrenner quelqu’un » et c’était lui porter chance. Une chance plus ou moins grande selon la personne qui les offrait. Les souhaits les plus recherchés étaient ceux des personnes « hors du monde », celles qui appartenaient ce jour-là au Royaume de Dieu : les enfants, les pauvres, les simples d’esprit. On attachait donc autrefois beaucoup d’importance à la qualité de celui qui allait offrir ses vœux en premier.
Comment gagner sa chance ?
Dans certaines régions, pour être sûrs que les premiers vœux de l’année allaient bien être offerts par un « béni de Dieu », les parents demandaient à leurs enfants de venir à l’aube du 1er janvier leur souhaiter la bonne année ; les notables sans enfants faisaient la même requête à leurs domestiques, assimilés pour l’occasion à des pauvres. Et la chance procurée allait être d’autant plus grande que les vœux prononcés s’accompagnaient de cantiques chantés !Évidemment, ceux qui n’avaient ni garçonnets, ni fillettes, ni serviteurs se trouvaient un peu dépourvus… Cela donnait lieu à des situations bien cocasses. Un homme préférait quitter subrepticement sa maison par l’arrière pour que les premiers vœux de l’année ne lui soient pas souhaités par un visiteur trop riche. Un autre pouvait partir dans la rue en quête d’un mendiant avec lequel échanger des vœux… mais faire demi-tour s’il apercevait un voisin qui risquait de lui souhaiter une bonne année !
Les tournées de quête
De là sont nées les tournées de quêtes organisées par les enfants ou les mendiants du village, tournées traditionnelles dans de nombreuses régions de France le premier jour de l’An.Des groupes passaient de maison en maison, en chantant devant chaque porte, en souhaitant la bonne année et en recevant en échange de menus cadeaux : des friandises ou des piécettes pour les enfants, des victuailles ou un peu d’argent pour les pauvres. Parfois, les enfants jouaient de la flûte ou du tambour, les miséreux prenaient un cheval pour porter en commun les poulets, saucisses, lards et autres nourritures séchées. Tous ces présents offerts par les villageois se nommaient « étrennes », ce qui signifiait à l’origine « cadeau de bon augure ». Grâce à leur quête, les petits et les malheureux recevaient bien sûr de quoi faire la fête, mais ils donnaient en retour une plus belle offrande encore : de la chance pour l’année à venir !
source : article de Marie-Odile Mergnac
sur le site http://www.notrefamille.com/
(cliquez sur la bannière en haut pour accéder à l'article)
dimanche 31 décembre 2006
Happy New Year
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